(DAC) Droit Au Carnage… 10sep10

Publié le par UNSA

 

Les titres et les superlatifs ne seraient pas assez forts pour prouver à quel point la direction a encore brillé par son incompétence et son sens de l’organisation dans l’ouverture du D.A.C. (Droit Au Carnage)

 

Depuis le 01 septembre, raccrochage des équipes et le 08 septembre, ouverture du service : Rien !!! Malgré une veille social déposée le 31/08, un RDV le 03/09 avec le chef de centre, et des heures de palabres ou la direction a fait semblant de nous écouter. Pourtant l’inquiétude était justifiée, la preuve étant là.

 

L’ouverture du service s’est passée dans la débâcle la plus totale : absence des principaux intéressés, horaires inadaptés, impossibilité de badger. Une fois de plus il n'y avait pas d’effectif. Premier jour 3 agents pour traiter 100 camions, le lendemain 4 pour autant de camions. Même scénario pour les jours suivants. Alors nous n’avons pas trop de mal, nous les gens de terrain, à imaginer dans quelle situation catastrophique nous serons pendant la période des fêtes.

 

Tout le monde se rend compte de l’échec de la mise en place du service car elle a été faite dans la précipitation. Rappelez-vous du C.C.C ou le chef de projet avait préféré reporter la mise en place de 3 mois, suite aux discussions et arguments présentés, tout ceci à son honneur au lieu d’essuyer un échec. C’est sûr. Un nouveau chef de centre est arrivé il y a quelques mois et comme on le sait, quand on arrive on veut tout « casser ». Oui, mais dans quel sens ?

C'est vrai nous ne sommes pas des ingénieurs, mais nous connaissons notre travail. Alors quel mépris pour les salariés d'une entreprise normalement classée N°1 !!

 

Nous le répétons honte à nos dirigeants.

 

Malgré cela les agents forts de leur conscience professionnelle se sont défoncés !!! De l'Amde à l'agent. Alors ne nous dites pas MERCI, vous pourriez vous écorcher la bouche. Par contre, nous, on ne vous remercie pas !!!

Nous n’accepterons pas de bricolage, une réaction du personnel s’impose car il va falloir que le personnel reprenne le contrôle de la situation et redonne de la voix,

 

Nous pensons que notre outil de travail est en danger.

 

Et nous ne parlons pas de ce qui se passe au DD où le climat est délétère, ni de nos collègues de la régulation RFS qu’on laisse dans le flou le plus total et qui ne savent toujours pas à quelle sauce ils vont être mangés. La section UNSA AERIEN-FRET

 

Publié dans le fret

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